Avant d'entrer à la Réserve Mastigouche, on passe par la municipalité de Mandeville (Saint-Charles-de-Mandeville pour les intimes) et on succombe aux délices du chômeur, beignet à la crème tant aimé des gens de la région... Le boulanger de la ville prend plaisir à fumer sa pipe et à jaser un brin avec les clients entre deux fournées.
À l'Accueil Catherine de la réserve, le personnel est des plus sympathiques et perspicaces. En réponse à nos besoins les plus profonds, on nous déniche un terrain de camping aux abords d'un lac tranquille dans lequel on se sera baignés... presque 10 fois en deux jours! Un bain de minuit, au Lac Violon, qui dit mieux? Formidable week-end estival!
Et on a bien fait d'ouvrir l'oeil à la sortie, quelques bébé-ours faisaient la course sur les routes cahoteuses et poussiéreuses!
Hé! Moi aussi j'ai déjà vu un ours à la Mastigouche! J'aime bien le Lac au Sorcier. J'essayerai le Lac Violon la prochaine fois.
RépondreSupprimerJe suis tellement heureuse de te retrouver via la blogosphère. Un délice te lire. Je t'ajoute à mes favoris et j'aimerais beaucoup te revoir dans la vraie vie.
Comment aurais-je pû t'oublier ?
Es-tu allée aux Six-Chutes aussi? Je me demandais si ça valait le déplacement. La réserve est tellement grande!
RépondreSupprimerOK, revoyons-nous dans la vraie vie. J'ai hâte de savoir si tu publieras bientôt un nouveau livre avec tes magnifiques illustrations. À bientôt très chère.
Oui, les Six-Chutes c'est génial, il faut y retourner !!! Ça vaut le déplacement !! Imagine, des grandes roches plates, la rivière qui y coule doucement, on peut facilement se déplacer d'une roche à l'autre. Il y fait bon lire, se rafraîchir, dessiner et se dire à quel point c'est joli, ici. C'est le souvenir que je conserve de cet endroit, nous étions cinq et c'était un moment délicieux. C'est au retour de ces chutes, sur la route (et nous, dans la voiture), que nous avons croisé l'ours.
RépondreSupprimerChouette alors!
RépondreSupprimerChutes et famille d'ours à Mastigouche... prochain sujet de texte?
À plus.
pourquoi pas ? Et si on l'écrivait ensemble ?
RépondreSupprimer