Un blogue sur les plaisirs de la vie à Montréal, au Québec et ailleurs. Félix le chat avait son sac magique; moi, j'ai ma chaise pliante. C'est pratique!
mardi 31 août 2010
Praga, quartier montant de Varsovie
Oswiecim, le vrai nom d'Auschwitz
Voir les baraquements d'Auschwitz et écouter la guide nous rappeler l'horreur. Voir ce qui subsiste et n'existe presque plus, voir un peu l'inimaginable. Marcher dans la petite ville entourant le camp, qui est aujourd'hui un musée. Des gens vivent aujourd'hui à Oswiecim. Y vivaient aussi probablement entre 1940 et 1945, quand on y utilisait les fours crématoires.
À 3 kilomètres de là : Birkenau. Voir le chemin de fer qui y entre et n'en ressort pas. Les baraquements détruits, desquels subsistent seulement les cheminées de brique qui servaient à chauffer, sûrement très peu, les détenus du camp.
Et puis lire ou relire Primo Levi, Si c'est un homme...
À 3 kilomètres de là : Birkenau. Voir le chemin de fer qui y entre et n'en ressort pas. Les baraquements détruits, desquels subsistent seulement les cheminées de brique qui servaient à chauffer, sûrement très peu, les détenus du camp.
Et puis lire ou relire Primo Levi, Si c'est un homme...
dimanche 29 août 2010
La vieille Cracovie… touristique
mardi 24 août 2010
L'art de l'affiche polonaise
lundi 23 août 2010
Un mariage polonais
D'une belle nuit de boustifaille, de vodka et de danse. D'un lever de soleil sur le lac où nagent des cygnes. Puis d'un douloureux retour à Varsovie aux petites heures du matin. Et surtout... le souvenir d’une mariée qui s’exclamait tout au long de la soirée : “le mariage, c’est la plus belle chose qui soit. Il faut se marier!! Il le faut!!”, les yeux pleins de lumière… Na zdrowie (santé)!
jeudi 12 août 2010
Varsovie et ses relents communistes
Pour casser la croûte après des heures et des heures de marche dans la capitale polonaise, rien de mieux que les pierogis dévorés dans les petits restaurants, comme le Na Bednarskiej. Ces sortes de raviolis peuvent être farcis au chou, aux champignons, à la viande et à tout plein d’autres ingrédients succulents. Entre 6 et 8 pierogis, accompagnés d’une soupe bortsch (à la betterave) comblent agréablement l’estomac du promeneur… Sinon, les bars à lait, autre relent de l’époque communiste, offrent à manger tout ce qu’il y a de plus local, dans une ambiance locale elle aussi et pour seulement quelques zlotys. Il vaut mieux sortir quelques mots polonais pour commander aux serveuses unilingues les délicieux nalesniki (crêpes au fromage frais) ou le sledz (hareng mariné souvent servi avec de la crème fraîche et des pommes).
Pour une chambre bien située, pas chère et assez confortable, j’ai opté pour l'hôtel Mazowiecki, ancien dortoir d’officiers polonais.
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