Juillet dernier...
12 heures à Vienne, c'est vite passé. Surtout quand une partie d'entre elles sont des heures bleues (de 15h à 3h du matin). Après 90 minutes de train rapide depuis Znojmo en République tchèque, les charmes de la capitale autrichienne s'offrent à nous sur un plateau d'argent (Vienne est en effet très chère après la Pologne et la Tchéquie).
12 heures à Vienne, c'est vite passé. Surtout quand une partie d'entre elles sont des heures bleues (de 15h à 3h du matin). Après 90 minutes de train rapide depuis Znojmo en République tchèque, les charmes de la capitale autrichienne s'offrent à nous sur un plateau d'argent (Vienne est en effet très chère après la Pologne et la Tchéquie).
On a commencé nos déambulations viennoises par deux heures au Musée Mozart. La visite de cet appartement-musée où vécut le célèbre compositeur de 1784 à 1787 vaut vraiment le détour et met dans l'ambiance de cette ville aux mille et un charmes historiques et culturels. Pas trop loin de la Mozarthaus, on s'enfarge les pieds dans la majestueuse et gothique église St-Étienne (Stephansdom en allemand) qu'on s'empresse de visiter (ci-haut).
Après s'être cognés le nez à la porte du cabinet de Freud (aujourd'hui devenu le Sigmund Freud Museum), on a commencé à éplucher la liste des cafés viennois que je voulais visiter... Vienne est réputée pour ses cafés et ce n'est pas pour rien. Chacun a sa réputation, son histoire, son ambiance. Des heures de plaisir!
Le Café Landtmann, que fréquentait Freud au début du XXe siècle justement. La terrasse climatisée l'été est très appréciable, ainsi que les bons Rieslings qu'on y déguste en comtemplant le superbe Burgtheater juste en face.
On n'a pas manqué de faire un saut au fameux Hôtel Sacher, d'où provient la recette de la réputée Sacher Torte (gâteau au chocolat un peu trop sucré à mon goût - déception!).
Le Café Central était fermé à 22h, on n'a donc malheureusement pas pu apprécier son décor très XIXe siècle, ainsi que ses hauts plafonds...
Le Café Hawelka par contre, était bien vivant vers 22h-23h. Plus sombre et déglingué, il nous a charmés grâce à ses serveurs nerveux et sympas, qui parlaient le français avec cet irrésistible accent germanique à couper au couteau.
Le Café Landtmann, que fréquentait Freud au début du XXe siècle justement. La terrasse climatisée l'été est très appréciable, ainsi que les bons Rieslings qu'on y déguste en comtemplant le superbe Burgtheater juste en face.
On n'a pas manqué de faire un saut au fameux Hôtel Sacher, d'où provient la recette de la réputée Sacher Torte (gâteau au chocolat un peu trop sucré à mon goût - déception!).
Le Café Central était fermé à 22h, on n'a donc malheureusement pas pu apprécier son décor très XIXe siècle, ainsi que ses hauts plafonds...
Le Café Hawelka par contre, était bien vivant vers 22h-23h. Plus sombre et déglingué, il nous a charmés grâce à ses serveurs nerveux et sympas, qui parlaient le français avec cet irrésistible accent germanique à couper au couteau.
Outre les cafés, mon coup de coeur à Vienne restera le superbe Quartier des musées (Museumsquartier), qui s'avère dynamique de jour comme de nuit!!! On n'a pas eu la chance de visiter le Musée Léopold qui s'y trouve (Klimt, Schiele ne perdent rien pour attendre), ni les autres musées du complexe et les boutiques du Quartier21, attenant à ces musées. Superbe idée que de réunir les musées modernes de la ville en un seul lieu, et surtout, chouette ambiance dans la cour intérieure où des jeunes s'entassent sur ces immenses chaises roses, à toute heure du jour et de la nuit. À 3h du matin, juste avant de prendre notre taxi vers l'aéroport, on somnolait sur ces divans de plein-air, entourés de plusieurs dizaines de jeunes qui refaisaient le monde en sirotant une bouteuille de vin. Parfait pour pratiquer son allemand...
Auf wiedersehen, Vienna!